DANS UN RAYON DE 100KM a 300km AUTOUR DU SALON

FRIEDRICH ALBER

Formé à l’école de Newark-on-Trent en Angleterre, Friedrich Alber crée son atelier à Montpellier en 1994 où il se consacre principalement à la fabrication des instruments du quatuor. Sa production, riche de 170 instruments, violons, altos ou violoncelles est inspirée par de prestigieux modèles italiens : Stradivari et Guarneri, Del Gesu pour les violons, Amati et Gagliano pour les altos, Goffriller, Grancino et Montagnana pour les violoncelles. Les instruments sont joués par des professionnels et amateurs à Montpellier, en France, en Allemagne, en Suisse, en Belgique, aux Etats-Unis, en Corée, à Singapour et au Japon.

Montpellier, 247km

BENOIT BONTEN

Passionné de musique et de travail du bois depuis l’enfance, il fait ses premiers pas dans le monde de la lutherie lors d’un échange estudiantin d’une année à Buenos Aires (2001-2002). Il y construit une première guitare sous l’égide d’Omar Nigrelli. De retour en Europe, il intègre l’école nationale de lutherie de Mirecourt dont il sort diplômé en 2006. Il travaille ensuite en qualité d’assistant dans différents ateliers à Bruxelles, Maastricht et Barcelone. En 2008, il devient l’assistant du luthier Gonzalo Bayolo. Aujourd’hui, il dédie principalement son activité à la fabrication d’altos et de violoncelles. Son atelier est situé à Livinhac le Haut en Aveyron.

Livinhac le Haut, 193km

APPOLINE CATALAN

Après un cursus d’apprentissage du violon au CRD d’Arras (Pas de Calais), Appoline intègre l’Ecole Nationale de Lutherie de Mirecourt. Elle y apprend la fabrication de violons, altos et violoncelles et obtient en 2010 le Diplôme des métiers d’Arts Lutherie. Elle complète sa formation dans l’atelier d’Olivier Pérot à Montréal (Canada). En 2016 elle ouvre son propre atelier, consacré à la fabrication de violons, altos et violoncelles. C’est à Uzerche, en Corrèze, qu’Appoline vit et fabrique ses instruments qui sont joués par des musiciens et musiciennes en France et dans le Monde.

Uzerch, 232km

ANNE-Cécile chippier

Anne-Cécile Chippier travaille à ce jour à Cambo-les-Bains (64) dans son atelier partagé « Landeia » à la fabrication des archets du quatuor à cordes. Formée auprès de Gilles DUHAUT et de Pierre GUILLAUME, elle crée des archets modernes dans la tradition de l’archèterie française. Elle travaille pour des musiciens de Nouvelle-Aquitaine et d’ailleurs, pour la réparation, restauration et vente de ses archets. Une fois par mois, elle tient une permanence à Bordeaux et une à Pau.

Cambo les Bains, 298km

tony echavidre

Tony Echavidre est établi à Bordeaux depuis 2009, après avoir suivi un apprentissage de lutherie en Angleterre pour poursuivre sa formation à Crémone au sein d'un atelier dédié à la fabrication et à la restauration des instruments du quatuor. Travaillant dans le respect de la tradition, il s'est dès lors intéressé aux évolutions majeures des instruments à cordes frottées, depuis l'époque baroque jusqu'à nos jours, afin d'en restituer ce qui constitue l'esthétique sonore de chaque époque. Tony est également passionné par les vernis des instruments anciens et anime depuis quelques années des formations spécialisées auprès de ses confrères luthiers.

Bordeaux, 245km

léo goujard-spiga

Le jeune Leo découvre l’art de la lutherie lorsqu’il visite l’atelier d’un luthier en Espagne à l’âge de 16 ans. Passionné par le bois et la musique, il se consacre désormais entièrement au violon et s'installe à Crémone, où il se forme à l'école internationale Antonio Stradivari. Ayant appris les principes fondamentaux de la lutherie italienne, il poursuit sa formation auprès de maîtres reconnus dans toute l'Europe. Pendant huit ans, il travaille ensuite aux côtés de Robert Brewer Young. Depuis 2016 il a ouvert son atelier dans les montagnes Ariégeoises, où il a trouvé la sérénité nécessaire à son travail.

Rimont, 116km

ulf kloo

Si un violoniste était un peintre et le violon la palette, vous voudriez avoir les peintures de la meilleure qualité sur cette palette. Et vous voudriez que les couleurs vives et sombres transmettent toutes les différentes émotions que vous voudriez exprimer. C'est comme ça que je vois la lutherie. Dans mon atelier à Béziers, j'essaie d'optimiser la sensibilité, la résonance et la voix de chaque instrument afin qu'il réponde parfaitement à tous les souhaits du musicien. Un instrument peut peut-être avoir une âme, mais je pense plutôt que mes instruments sont capables d'exprimer l'âme du musicien.

Béziers, 180km

thomas koenig

Thomas Koenig est archetier à Montpellier, il crée des archets d'exception signés de son prénom en lettres majuscules : THOMAS. Après un grave accident en 2001 qui le rend paraplégique, il se forme auprès de Pascal Camurat et développe une passion pour l'archeterie. Issu d'un milieu non musical, il apprend à comprendre les besoins des musiciens. Son objectif est de fournir des archets de violon, alto et violoncelle alliant efficacité et performance sonore. Ses créations se distinguent par leur souplesse et leur homogénéité, répondant aux attentes les plus exigeantes et offrant une expérience artistique unique.

Montpellier, 246km

mylène lassalle

J'ai suivi ma formation de luthier à Mirecourt en 2008. J'ai approfondi mes connaissances dans de nombreux ateliers, principalement à Angers et à Lyon, découvrant avec beaucoup de curiosité les différentes approches et méthodes de luthiers reconnus. En 2017, j'ai ouvert mon propre atelier en Corrèze, pour me consacrer exclusivement à la fabrication de violons et d'altos. Je m'efforce d'étudier et de comprendre l'architecture des instruments des grands maîtres italiens des XVIIe et XVIIIe siècles, ainsi que les techniques utilisées. J'essaie de m'inspirer de ces modèles pour développer une esthétique et une sonorité qui me sont personnelles.

Condat sur ganaveix, 238km

luca laulhere

Né à Paris en 1993, fils de luthiers, ce métier est rapidement devenu une évidence dans sa vie. À l'âge de 20 ans, il part pour l'Italie où il suit les cours de l'École civique de lutherie de Milan sous la direction du maître Lorenzo Rossi et fréquente l'atelier de Julia De Lucca. Il revient en France en 2017 pour poursuivre sa formation, d'abord dans l'atelier familial, puis auprès d'autres luthiers : Jan Bartos, Katia Louis et Rémi Berthaud. En 2022, à l'âge de 29 ans, il ouvre son atelier à Bayonne, au Pays Basque

Bayonne, 296km

julien mortier

Après un apprentissage en lutherie chez Franco Simeoni à Trévise (Italie), je me spécialise en archèterie dont j'apprends les secrets chez Jean-Marc Panhaleux, Pascal Camurat, Jean Grunberger et Blaise Emmelin. Je partage mon atelier à Perpignan avec mon épouse Sophie Erdal, luthière.

Perpignan, 206km

jean seyral

Après un début d’études de biologie, Jean Seyral intègre la classe du Maestro Giorgio Scolari a l’Ecole de Lutherie de Crémone. Le diplôme obtenu en 1985, il s’installe à Bayonne en 1987 accompagné de Florence, elle aussi diplômée de l’Ecole de Cremone. L’activité débordante d’un atelier de lutherie généraliste est enrichissante mais laisse de moins en moins de disponibilité pour la fabrication d’instruments contemporains. En 2009, Jean et Florence Seyral cèdent leur atelier de Bayonne pour s’installer à Cagnotte petit village paisible, pour se consacrer à la création et fabrication des instruments du Quatuor.

Cagnotte, 271km

martial spessardi

Martial Spessardi est un luthier installé à Marciac, il officie dans les écoles de musiques et conservatoire du 65 et du 32. Formé à la fabrication de violons de concerts par le luthier Antoine Gonon à Beaune, puis en Italie à Crémona par le luthier Grisalès, il continue de s’informer auprès de son maître et ami Barthélémy Garnier sur les techniques ancestrales de fabrication des instruments par les italiens. Son travail porte depuis une décennie sur la luminescence dans le bois et l’étude des vernis italiens et leur impact sur la sonorité.

Marciac, 132km

bodo vosshenrich

Diplômé de l’école de Mittenwald en Bavière, je suis luthier dans la région Toulousaine depuis 2004. Très tôt, je me suis intéressé à l’utilisation des instruments du quatuor hors musique classique, créant ainsi des instruments électroacoustiques et électriques, le « Neolin » et « Electrolin « , respectivement.
Quant à ma fabrication dans le registre du quatuor classique, tout spécimen qui sonne et parle à mon sens esthétique peut constituer le point de départ d’un projet d’instrument.

Lescure-Jaoul, 137km